poèmes
La guerre
La guerre ,
toujours la guerre,
elle revient à tous moments,
ne pouvant faire face,
elle s'éforça de ses mains,
sa belle au bois dormant,à la suplier,
de ces doux moments ,
en la menaçant,
de ces jeux tentant,
épuisé par ces sacrifices,
elle hurla ,cria, le désespoir,
comme deux beaux sacrifices,
nul, prêta attention,
laissant inerte la douce colombe.
Dur
Dur ,très dur
quand l'amour nous glace,
quand il prend une place,
quand il nous entrave,
le coeur amoureux,
d'un être heureux,
dur, très dur,
quand un spècimen rare ,nous avare,
quand le crépuscule voie ses fins,
et quand le bonnheur s'éteind.
Laisse la rêver
Laisse la rêver ,
regarder dans le ciel, les étoiles,
dorées les jours du soleil ,
laisse la rêver qu'elle peut voler ,
plus haut même si elle le veut trop ,
le monde d'un oiseau c'est beaucoup plus beau.
En équilibre
En équilibre comme sur un fil ,
rejoins moi c'est pas difficile,
pas à pas ouvrir ses bras,
pas à pas ne pas regarder en bas,
face au danger ne pas glisser ,
tu m'atendais de l'autre côté ,
et la peur du vide n'aura plus d'effet sur moi,
si tu te décides à faire le premier pas .
Je ne tiendrais pas
Regarde, regarde moi de plus près,
tu vois,je ne suis pas très forte,
c'est pourquoi tu ne doit jamais t'en aller,
même quand, même quand j'ai tord,
je ne tiendrais pas sans toi,
je n'ai pas cette force là,
je ne tiendrais pas sans toi,
fait l'éssaie et tu verra,
j'aimerais pouvoir m'asseoi,
je voudrais respirer un peu,
ne plus retouter sans cesse ton départ,
et vivre ensemble enfin heureuse à deux.
Un soir de printemps
C'était un soir de printemps,
nos regards se sont croisés,
là,assise sur un banc,
je n'ose bouger,
frappée par le désespoir,
je partie,
très loin,
soudain une voix m'interpella,
c'était elle,
je ne voyais que l'eau coulée dans ses yeux,
ses paroles,
je ne les ècoutais pas ,
je les ingurgitais,
envahit par une douce chaleur,
je me sentais volatilisée sur une île magnifique,
que m'est-il arrivée?
seul,dieu le sait!
